Lac de Sesques : ne pas confondre avec le lac d’Isabe !
Plus bas : 964 m pk gorges du Bitet
Plus haut : 2070 m pentes du pic La Béque de Sesques
Dénivelé : 1150 m
Distance parcourue : 12,2 km
Participants : Didier Mazoin et Bernard Boutin
Temps : beau
Date : 27 août 2024
Montée au Cujala de Sesques où nous avons une longue et éclairante conversation, avec le berger Jean-Louis Laborde Boy, sur « le temps qui passe », là-haut sur les estives. Accueil sympathique. Café pour tous et c’est parti pour une heure d’échanges, concrets et sans-détours, avec Jean-Louis qui a passé près de 40 ans sur place. En faire un livre pour démystifier la vie de berger. Se revoir fin octobre, chez lui, dans la plaine, à Verdets, pour acheter du « brebis d’estive » et partager à nouveau un café. Une belle rencontre.
Remontée, par des sentes surtout animales, vers le lac de Sesques, niché, dans un endroit improbable, sous le pic de la Béque de Sesques. Eau verte : réchauffement climatique = réchauffement de l’eau et donc algues. Dommage.
Les tritons sont toujours là en grand nombre, de même de grosses libellules. Un biotope rare bien conservé.
Tentons de rejoindre le pic de la Bèque de Sesques. La crête expo et les pentes fortes dissuadent la Mule de continuer l’effort. Résignés, descendons déjeuner sur les bords du lac.
Retour en boucle par le Nord. Plutôt sympa comme cheminement. Moins raide aussi que le final de la montée. A refaire.
Eaux-Bonnes : Montcouges en boucle
Plus bas : 780 m pk de la Sourde Eaux-Bonnes
Plus haut : 2020 m Montcouges
Dénivelé : 1550 m
Distance parcourue : 15,5 km
Participants : Didier Mazoin et Bernard Boutin
Temps : menaçant
Date : 27 août 2024
Il pleut sans discontinuer et la météo est improbable depuis des semaines. Décidément, pas d’été pour 2024 ! Décidons de ne pas aller loin et de monter au classique Montcouges par la Coume de Balour.
Le brouillard et la pluie nous menacent toute la journée… sans passer à l’acte. Un moindre mal. Fraicheur automnale. Croisons personne. Pas d’izard non plus. Un gypaète immature nous survole.
Retour par le GR10, le col du Gourzy et la cabane de Laga de Haut. Marcher pour marcher. Le 10, c’est triste…
A plus sur les sentes
– par Beñat
Les randos d’avant : c’est ICI
Crédit photo : Bernard Boutin
La mule et l'intello 
Humm… Très difficile à retrouver. Moi-même je ne saurai retrouver. Le fossile est intégré dans une pierre lourde et intransportable. No risk selon moi.
Le tracé de votre rando suffit pour qqun qui a le temps.
Ayant fréquenté plus jeune quelque mineraliers je pense que vous vous trompez ils sont aussi affûtés que des chasseurs d’isards et ne reculent devant rien, amenant souvent le matériel adéquat.
Nous parlons ici de notre patrimoine commun.
Je ne cherche pas à me placer en donneur de leçon, mais à vous faire prendre conscience d’un risque, comprenez le bien
Parlez en a Mr Mariano que je viens de contacter à ce sujet, lui aussi à eu cette illusion.Bien cordialement.
Bonsoir,
Sans vouloir vous obliger la photo montrant le petit trésor géologique que vous avez aperçu devrait être retirée. La raison en est qu’un récent pillage du côté d’Er à amputé ce patrimoine naturel de la vue ses visiteurs.
Avec regrets tout n’est pas bon à partager sur les blogs